Publié le 7 Avril 2014

Petit logo unsaLa direction de Radio France a passé en revue les mètres carrés disponibles pour les relocalisations nécessaires aux deux prochaines phases de travaux :

« C’est quoi là ?

- La médiathèque du personnel.

- C’est obligatoire.

- Elle a toujours été à la Maison de la Radio. Et puis, l’employeur ne peut pas remettre en cause une œuvre sociale et culturelle.

- C’est très bien, mais on n’a plus de place, faut la supprimer. »

 

La problématique des relocalisations pour la période 2014-2017

Il est vrai que les deux dernières phases de travaux entrainent une perte d’espaces de travail nettement supérieure à ce que nous avons connu jusqu’à présent. Mais cet élément était connu depuis le début du projet de la réhabilitation. La politique du fait accompli conduit à l’expulsion de la médiathèque et ses trois salariées à une échéance de deux mois ! De surcroît rien n’est envisagé pour son retour à l’issue des travaux.

 

Le projet stratégique de Radio France

Radio France, comme d’autres institutions culturelles ou médiatiques, cherche à diversifier ses activités dans la perspectives de nouvelles recettes lui permettant de développer ses ressources propres. Cela s’appuie sur un double contexte :

-       Le désengagement de l’Etat dans l’audiovisuel public

-       De nouveaux usages de la radio à l’heure du web et des réseaux sociaux.

Ainsi, l’ouverture au public de la Maison de la Radio est donc devenue le nouveau credo. Les personnels seraient donc priés de sortir de la culture de l’entre-soi, de s’ouvrir au monde, de communiquer avec les auditeurs grace aux réseaux sociaux,  mieux encore : les rencontrer sur place. La Maison de la Radio est un mythe monétisable, pourquoi pas un Radioland avec restaurants, librairie, etc. ?

 

Et les personnels dans tout ça ?

Les personnels ont-ils réellement besoin de s’ouvrir au monde ? La réponse est évidemment oui. Et pour cela, quoi de mieux qu’une médiathèque ?

 

 

L’Unsa demande une priorité au maintien de la médiathèque avant tout projet de concession à une éventuelle librairie. L’ouverture au public ne saurait remettre en cause un service qui touche 2400 utilisateurs et mettre en question les trois emplois qui y sont attachés.


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Publié le 24 Mars 2014

Petit logo unsaC’est la dernière en date : sur les offres d’emplois du site profilculture.com l’annonce d’un emploi de régisseur général des grandes salles et des studios publics de Radio France a été mise en ligne le 12 mars avec un caractère d’urgence. Pourtant, le poste n’a pas été mis en consultation. C’est bien le peu de cas fait à l’évolution des carrières, aux compétences et aux appétences en interne.

Alors que les négociations du Nouvel accord collectif reprennent ce 25 mars sur les métiers, l’Unsa n’aura de cesse d’insister sur les nécessaires perspectives d’évolution de carrière. Il n’est pas possible selon nous de commencer sa carrière dans un groupe de classification sans la perspective d’en sortir. Nous souhaitons également que soit pris en compte lors de la prise de fonction sur un poste le niveau de diplôme et/ou l’expérience professionnelle. Cela doit être le cas à l’embauche ou suite à une mobilité.

La mobilité choisie et l’évolution de carrière doivent être des priorités. Le projet stratégique de Radio France consiste notamment à ouvrir la Maison au public et à poursuivre le développement du multimedia. Cela s’accompagne de nouveaux besoins. Il suffit d’ouvrir les yeux pour se rendre compte que le personnel en place a tout le potentiel pour les combler.

Il est également temps de dégripper la machine à intégrer les salariés en CDD depuis des années. Voir des postes CDI proposés sur le marché quand on entend à longueur d’année qu’il n’est pas possible de viabiliser d’autres postes absolument cruciaux pour le fonctionnement de la radio nous laisse perplexes.

Nous voulons croire que désormais tout poste sera mis en consultation en interne et satisfait par les impétrants. Et par un cercle vertueux, cela génèrera l’embauche d’un CDD sur le poste laissé vacant.

Radio France veut s’adapter aux évolutions. Si son personnel n’est pas dans la boucle, les conséquences sociales seront importantes dans un contexte où la tutelle réclame une réduction de la masse salariale. 

 

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Lire aussi :

Lettre ouverte du 28 mars 2012 (documentalistes)

Billet du 4 avril 2012 (documentalistes)

Billet du 10 avril 2012 (documentalistes)

Lettre ouverte du 4 avril 2012 (attachés de production) 1/2

Lettre ouverte du 4 avril 2012 (attachés de production) 2/2


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Rédigé par unsaradiofrance

Publié dans #Carrières

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Publié le 29 Janvier 2014

Petit logo unsa

  

  

 

Dans chaque fonction, les salariés sont soumis à des pertes de sens par rapport à leur travail.

 

 

Les tours de vis budgétaires successifs aggravent la situation. Nos rémunérations et nos conditions de travail se dégradent :

Ø  La pression sur le personnel précaire est de plus en plus forte.

Ø  Obtenons l’application de la règle la plus élémentaire : tout travail mérite salaire, qu’il s’agisse des heures supplémentaires, des heures majorées ou des astreintes.

Ø  Nos espaces de travail sont censés répondre à des normes. Souvent notre travail ne se fait plus dans les conditions requises (Open spaces ou bureaux étriqués, travail au casque…). Le nombre de déménagements n’arrange rien.

Ø  Missions et opérations extérieures sont de plus en plus difficiles à monter dans des conditions normales.

 

 

La stratégie numérique manque de lisibilité :

Ø  Les applications de Radio France sont très décriées sur les plateformes.

Ø  Les podcasts fonctionnent souvent très mal.

Ø  Sur les sites : la navigation est malaisée, la publicité est indigne de la radio publique, il manque un moteur de recherche à la hauteur.

 

 

Les luttes de pouvoir sont toujours un frein à l’exercice de notre mission :

Ø  Les réorganisations s’accompagnent toujours de gesticulations pour le contrôle de pré-carrés.

Ø  Qui n’a pas subi ordre, contre-ordre et retour à la case départ ?

 

 

A l’Unsa, nous dénonçons toute perte de sens. Nous défendons notre identité : la radio publique et ses formations musicales.

Nos délégués du personnel, nos élus au CE et au CHSCT mèneront la bataille.

 

Les 11 et 12 février, chaque voix compte.

Votons "liste d’alliance CGC-UNSA"

 

 

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Publié dans #Missions et moyens

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Publié le 20 Décembre 2013

Petit logo unsaIls sont journalistes, producteurs, animateurs, collaborateurs spécialisés, attachés de production, cuisiniers… Ils ont pour statuts : pigistes, CDD, CDDU (cachetiers), intérimaires, stagiaires… Ils ont en commun un avenir toujours incertain, la flexibilité des horaires, le chemin de croix pour accéder à un crédit ou simplement à un logement.

 

Pour les plus anciens, c’est toujours la possibilité d’être congédié après 10, 15, parfois même 35 ans de bons et loyaux services.

 

 

Pour les plus jeunes, la précarité est un mode de gestion qui se veut :

-      pratique pour la gestion des absences

-      économique pour masquer des emplois pérennes qui supposent que l’on rémunère l’ancienneté.

 

Il existe également l’argument fallacieux qui consiste à faire du cumul de dizaines de contrats une période formatrice, d’intégration dans l’entreprise.

 

 

Radio France bafoue le droit du travail. L'article L1242-1 du code du travail précise qu'un contrat de travail à durée déterminée, quel que soit son motif, ne peut avoir ni pour objet, ni pour effet de pouvoir durablement un emploi lié à l'activité normale et permanente de l'entreprise. La succession de CDD ou de recours à l’intérim sur un emploi vacant est illégale.

 

 

Il faut abolir ce sytème. Le motif de remplacement, parfois arrangé, ne justifie pas l’exploitation d’une main d’œuvre contrainte à courber l’échine. Les salariés formés et reconnus ont vocation à être intégrés plutôt que laisser la place aux bataillons qui frappent à la porte de l’entreprise. Pourquoi tenir un stand au Salon de l’étudiant sur les métiers de Radio France, lorsque l’entreprise ne sait pas intégrer le personnel qui travaille pour elle depuis des années ?

 

Non, la titularisation n’engendre pas aigris et fainéants. C’est une question d’équité et d’éthique. Un salarié a vocation à occuper un poste en CDI dans les meilleurs délais, la règle selon le Code du travail. Nous devons tous le revendiquer.

 

Halte à la précarité

 

Voir aussi :

Insoutenable précarité

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Publié dans #Précarité

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Publié le 20 Décembre 2013

Petit logo unsaLes agents d’accueil et de sécurité ne se sentent toujours pas reconnus pour leur dévouement sans faille et leurs compétences.

Et pour cause :

- ils ont tant de mal à obtenir ne serait-ce qu’une tenue vestimentaire à la hauteur,

- leur positionnement dans les grilles de salaires est le plus bas de l’entreprise avec les nouveaux prélèvements supportés par les salariés de Radio France : l’abonnement au parking et maintenant la prévoyance obligatoire.

 

Il serait fallacieux d’affirmer qu’ils sont hostiles à une évolution de leurs moyens pour assurer leurs missions d’autant que le plan Vigipirate n’est jamais levé.

Portiques de sécurité et vidéosurveillance, utilisée dans un cadre très strict, sont des évolutions normales pour la gestion des accès dans un site aussi sensible que Radio France.

 

Il n’en demeure pas moins que les agents en poste auront toujours à prendre en charge beaucoup de personnels au cachet d’une journée, de visiteurs et d’invités, ainsi que de plus en plus de badauds avec l’ouverture de la Maison au public. Aujourd’hui c’est Momo le SDF qui vient régulièrement après avoir été la vedette d’un reportage il y a trois ans, demain la Maison sera un vrai centre d’attraction. Bref, la présence minimale de deux agents à chaque porte restera indispensable.

 

 

La vidéosurveillance ne pourra se mettre en place qu’avec une charte où il sera consigné un principe fondamental : l’agent ne pourra pas apparaître dans le champ de la captation. Un agent n’a pas vocation à être la vedette d’une téléréalité !

 

Pour des raisons de sûreté, l’accès au parking doit continuer à être géré en interne.

 

 

Rappelons ici les quelques attentes que nous avions déjà soulevées :

 

-       Information : mise à disposition du service de la liste complète des personnes attendues dans la journée.

-       Considération : rappel à l’ensemble du personnel de la difficulté de leur mission et du respect qui est dû aux agents d’accueil et de sécurité qui œuvrent pour la sérénité de tous.

-       Reconnaissance : revalorisation salariale et accès gratuit au parking.

 

 

 

Le service accueil et sécurité ne peut pas se moderniser à n’importe quel prix.  

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Publié dans #Conditions de travail

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Publié le 16 Décembre 2013

Petit logo unsaLa section Unsa de Radio France s’est créée en décembre 2011. Nous partageons l’envie de soumettre des propositions, d’engager un dialogue constructif tout en restant fermes quant à l’intérêt des salariés. Notre démarche est d’argumenter avec pugnacité pour vous défendre individuellement et collectivement.

 

Nous sommes très attachés aux programmes radiophoniques élaborés, à la rigueur de l’information et au prestige de nos formations musicales. La présence de Radio France sur Internet, les smartphones ou tablettes, ne nous apparaît pas comme incompatible avec sa mission. Mais toute activité nouvelle sans moyens dédiés ne peut pas fonctionner. A trop charger la mule, on finit par la tuer.

 

Les 14 et 15 janvier, voter Unsa nous permettra d’accomplir le travail nécessaire à la défense de vos droits et de vos conditions de travail. Nous serons notamment réactifs face aux déconvenues de la Réhabilitation. Plus généralement, nous souhaitons résister à des orientations dramatiques dictées par l’approximation, voire l’incompétence de quelques décideurs.

 

Voter Unsa, c’est se donner les moyens de défendre ardemment les revalorisations salariales, la reconnaissance de l’investissement et les évolutions de carrières.

 

Voter Unsa, c’est la possibilité de voir se développer une plateforme d’informations pratiques qui s’enrichira à un rythme très soutenu tout au long du mandat qu’il nous sera donné.

 

Les scrutins de mai et juin 2013 nous ont permis d’ouvrir en septembre une permanence (pièce 3565) avec un salarié mis à la disposition du syndicat. Avec un résultat de 9,32% des suffrages exprimés à Radio France, nous avons manqué de très peu la représentativité pour participer aux négociations : il nous aurait fallu seulement 21 voix de plus.

 

Voter la liste d’alliance CGC-Unsa dans les collèges titulaires CE, c’est donner à l’Unsa la possibilité d’atteindre la représentativité nécessaire à la négociation de l’accord collectif,

en vue d’une négociation âpre et argumentée.

 

 

 

 

Pour donner un nouveau visage au syndicalisme à Radio France,

votez Unsa 

 

 

 

* Si vous n’êtes pas sur le lieu de vote le 14 ou le 15 janvier, vous pouvez voter par correspondance. Pour recevoir le matériel de vote à votre domicile, il ne faut pas tarder. Il suffit d’appeler l'un de ces

3 numéros :

01 56 40 20 32 / 01 56 40 20 87 / 01 56 40 23 93 

 

* Pour toute demande d’information, n’hésitez pas à nous contacter par tél au 01867 ou par mail : unsa@radiofrance.com

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Rédigé par unsaradiofrance

Publié dans #Unsa

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Publié le 15 Décembre 2013

      Petit logo unsaLa gestion actuelle du CE, laissée au même syndicat depuis de nombreuses mandatures, est inacceptable.

 

Comment accepter que la restauration collective, gérée par le secrétaire du CE, issu de la CGT, fonctionne avec environ 15% de son personnel en intérim ? De 2003 à 2013, le poste budgétaire Intérimaires est passé de 132000 € à 430000 €. Cette gestion par la précarité que nous dénonçons à Radio France est pratiquée par le CE ! Nous l’avons contestée dans le cadre de la Commission de la restauration collective. Nous souhaitons une alternance du bureau du CE afin de réorienter sa gestion dans le sens de la responsabilité sociale. En juin 2013, nous étions le seul syndicat à présenter un candidat face au secrétaire sortant.

Nous nous investirons pour une amélioration significative du service de la restauration en portant notre attention sur le coût du plateau et la variété des menus. Les salariés doivent pouvoir se restaurer avec des repas équilibrés et dans une salle aménagée de manière à réduire au maximum les nuisances sonores. Nous appelons également à une proposition d’aliments bios et souhaitons une réflexion sur un service minimal matin et soir pour les salariés en horaires décalés.

 

 

Ø  L’accès au logement pose problème. Le nombre d’appartements attribués est en constante diminution. Nous ne nous satisfaisons pas non plus du manque de transparence entre le service logements et les salariés.

 

 

Ø  La formation professionnelle est dotée d’un budget considérable avec une contribution de l’employeur de 3,7 % de la masse salariale brute. Il est incroyable que la programmation de stages de management, dont l’efficacité est douteuse, et de stages d’utilisation de smartphones constitue la majeure partie de ce budget.

 

 

Ø  Le CE est aussi une instance consultative qui doit se faire respecter. Seule la capacité de ses élus à travailler les dossiers en profondeur et à en rendre compte aux personnels permettra de restaurer son rôle primordial dans les orientations stratégiques de Radio France.

 

Lire aussi :

Pas d'alternance pour la gestion du CE Paris/Ile-de-France

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Publié dans #CE et CI

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Publié le 14 Décembre 2013

CE Collège 1

 

DP Collège 1

 

Titulaire

Suppléant

 

Titulaire

Suppléant

 

Yannick LOISEL

Didier GNAHOUA

 

Karine DUBILLOT

Christophe CORTIN

 

B06-0 Agent d’accueil et de sécurité

B06-0 Agent d’accueil et de sécurité

 

B06-0 Agent d’accueil et de sécurité

B06-0 Agent d'accueil et de sécurité

 

 

 

 

 

 

 

CE Collège 2

 

DP Collège 2

 

Titulaires

Suppléants

 

Titulaires

Suppléants

 

Philippe BALLET

Nadia SEDJERARI

 

Denis CHEISSOUX

Alain NEAU

 

B16-0 Documentaliste

B18-0 Techn. supérieure de gestion

 

Producteur délégué

B24-0 Documentaliste-Programmateur musical

 

Stéphane PART

Evelyne ADAM

 

Christophe DHUNOO

Philippe BALLET

 

Musicien – 1er soliste

Animatrice

 

B11-0 Contremaître

B16-0 Documentaliste

 

Nicolas GILLY

Thierry LEFEBVRE

 

David CAMPELLO

Hugues GODIN

 

B16-0 Régisseur de plateau

B17-0 Chargé Coordination

 

B10-0 Techn. de maîtrise de gestion

B09-0 Techn. de spécialité

 

Chadia NOBLET

Gilles LE MOUEL

 

Bruno MOURLAN

Annelise SIGNORET

 

B10-0 Techn. de maîtrise de gestion

Collaborateur spécialisé d'émission

 

B21-1 Chef opérateur du son

B24-0 Documentaliste

 

Jean-Michel GUEDE

Hervé VIEVILLE

 

Isabelle YHUEL

Sébastien LABARRE

 

B9-0 Conducteur de véhicule

B17-0 Régisseur d'établissement principal

 

B24-0 Chargée de réalisation radio

B21-1 Chef opérateur du son

 

Daphné ABGRALL

Thierry LOUIS

 

Christophe VIGIER

Jérôme BOULET

 

B16-0 Attachée de production

B17-0 Techn. supérieur de spécialités

 

B23-0 Techn Sup en Energie Clim

B21-1  Attaché de production

 

David GARREAU

Thierry ALESSANDRI

 

Cécile BONNET DES CLAUSTRES

Christine DEVARS

 

B11-0 Contrôleur d'accueil et de sécurité

B 9-0 Chef de poste

 

B21-1 Attachée de production

B24-0 Documentaliste

 

 

 

 

Pierric CHARLES

François CAUNAC

 

CE Collège 3

 

B21-1 Chef opérateur du son

B25-0 Chargée de réalisation radio

 

Titulaires

Suppléants

 

Elodie GUILLON

Kheria RETIEL

 

Guillaume BALDY

Eric BONNENFANT

 

B10-0 Techn. maîtrise de gestion

B16-0  Assistante d'édition

 

B24-0 Chargé de réalisation radio

DCDT1 Chargé de mission

 

Bruno DUFOSSE

Jean-Michel DESPRES

 

Laure-Hélène PLANCHET

François CHRISTOPHE

 

B09-0 Chef de poste

B21-1 Chef opérateur du son

 

B21-1 Assistante à la real radio

Réalisateur radio

 

Odile DEREUDDRE

Souad BOUZAR

 

Denis CHEISSOUX

Martin DESCLOZEAUX

 

B21-1 Documentaliste

B16-0 Assistante d'édition 

 

Producteur délégué radio

B21-1 Assistant d'édition

 

Rafik ZENINE

Eric AUGEY

 

Clotilde THOMAS

Anne FRANCHINI

 

B24-0 Chargé de réalisation radio

B23-0 Chef opérateur du son

 

B21-1 Chef opératrice du son

B24-0 Chargée de réalisation radio

 

Anthony RICHARD

Joël VINCENT

 

Sylvain DUMORTIER

Gauderic GRAUBY VERMEIL

 

B16-0 Documentaliste

B11-0 Contremaître

 

B23-0 Cadre supérieur technique

B21-1 Attaché de production

 

Valérie IZARD

Emmanuel ARMAING

 

Rebecca DENANTES

Pierre THARY

 

B24-0 Assistante d'édition

B21-1 Chef opérateur du son

 

B24-0 Attachée de production

B21-1 Techn Sup en Energie Clim

 

Noël COCHET

dit Nicolas PERRIN

Stéphane PIEDFER

 

Laurent GROUT

Julien DOUMENC

 

B21-1 Attaché de production

B18-0 Techn. supérieur de gestion

 

B23-0 Chef opérateur du son

B21-1 Chef opérateur du son

 

Pascal DAGOIS

Jean-François BILLIG

 

Stéphanie LEROY

Pierre LESEL

 

B11-0 Technicien de maîtrise de spécialités

Adjoint au chef de service

 

B21-1 Documentaliste

B21-1 Techn Sup de gestion

 

Olivier PAUMIER

Philippe SOURDON

 

Hervé QUIDU

Eric GERARD

 

B11-0 Techn. de maîtrise de spécialités

B21-1 Chef opérateur du son

 

B19-0 Cadre administratif

B20-0 Cadre technique

 

Stéphane DESMONS

Dominique GENTOT

 

Jean-Michel FAYET

Diego TERCERO

 

B21-1 Chef opérateur du son

B24-0 Documentaliste

 

B25-0 Ingénieur

B25-0 Ingénieur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CE Collège Journalistes

 

 

 

 

 

Titulaires

 

 

 

 

 

Emmanuel MOREAU

 

 

 

 

 

Journaliste

 

 

 

 

 

Pierre BENAZET

 

 

 

 

 

Journaliste pigiste

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Publié le 14 Décembre 2013

Petit logo unsaNous sommes particulièrement vigilants sur les modes et moyens de production, les effectifs et moyens nécessaires à la réalisation de nos missions de radio publique. Nous sommes très attentifs aux organisations du travail : gestion par la précarité, systèmes horaires, espaces de travail, charges de travail.

 

 

Ø  Le 3 juin 2010, la Cour d’Appel de Paris a confirmé la mise en cause de la Convention Collective. Il nous faut aboutir au Nouvel accord collectif avec les meilleures garanties sociales et la définition de nos métiers la plus fine possible. 

 

Les négociations patinent depuis 4 ans à Radio France. L’Unsa ne s’est jamais enfermée dans le refus d’un changement de grilles salariales. Il faut bâtir un projet où l’ensemble des personnels concernés puissent se retrouver positionnés le plus justement possible. Il n’a jamais été question pour nous de valider un texte au rabais, mais bien de travailler au plus près des salariés concernés pour que l’accord constitue un cadre et une protection bien au-delà du Code du travail. Il ne faut pas se mentir, le contexte budgétaire est de plus en plus tendu. Il est temps d’arracher un accord à la hauteur des attentes des personnels, d’y travailler sérieusement, de prendre ses distances avec une politique d’obstruction stérile qui n’est d’ailleurs pas défavorable aux projets les plus funestes que pourrait nourrir une direction. Rendons possibles les évolutions de carrières. Dire que le système actuel est équitable est un déni de réalité. Il est temps de prendre en compte les activités, les charges et cadences de travail, ainsi que les responsabilités liées à chaque fonction. Il nous faut parvenir à définir les positionnements les plus justes dans les grilles salariales. C’est aussi l’occasion unique de revaloriser des métiers.

 

Nous souhaitons la réintroduction de l’automatisme qui garantit une progression régulière de nos salaires. L’absence d’augmentation générale dans le cadre de la NAO (Négociation annuelle obligatoire) empêche les salariés de faire face à la hausse des biens de première nécessité (logement, alimentation, transports).

 

Nous voulons une réouverture rapide des négociations pour un accord collectif journalistes.

 

Ø  Nous avons aussi un travail important à effectuer à propos des salariés précaires.

 

Ce sont eux les intérimaires, CDD, pigistes et CDDU (cachetiers) qui sont les plus exposés à l’éventualité d’un plan massif d’économies. Dans tous les secteurs, ils sont là pour compenser en partie des restrictions d’effectifs en colmatant des brèches de plus en plus béantes. Il y a aujourd’hui environ 70 emplois vacants. Les organisations syndicales doivent s’impliquer totalement pour l’intégration en CDI de toutes celles et tous ceux qui se démènent depuis plusieurs années avec énergie et talent.

 

 

Ø  Les heures supplémentaires et majorées doivent être au choix payées ou récupérées pour tous en application du droit du travail.

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Publié dans #Carrières

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Publié le 3 Novembre 2013

Petit logo unsaLa direction financière a pris les commandes. Rebaptisée Direction Performance Accompagnement Développement (PAD, cela ne s’invente pas), son objectif est de doubler les ressources propres de l’entreprise et de restreindre les budgets des antennes et des directions. Cette démarche suppose une dure pression sur l’activité radiophonique dans l’ignorance de ses fondamentaux. Cela a également des conséquences fâcheuses pour les salariés : précarité, revenus, souffrance.

 

Doubler les ressources propres

Tout le monde le sait : la publicité sur les ondes a payé, mais ce n’est plus le cas malgré le travail acharné de la régie. Si Radio France inscrivait dans son contrat avec l’Etat que ses ressources propres allaient passer de 8% à 15%, nous serions immédiatement dans l’impossibilité de réaliser le budget. Ce serait un deficit organisé qui entrainerait une restructuration dans les trois ans et une atteinte aux emplois.

D’autre part, le développement d’activités extraradiophoniques, comme la négociation de ressources locatives et de concessions commerciales, risquent de déstabiliser le travail quotidien. L’ouverture de la Maison de la Radio au public est conçue à partir de la percée d’une rue traversante, saignée « haussmannienne » dans l’édifice de la Maison ronde. Alors que nos espaces de travail (open space, travail au casque, cellules…) vont à l’encontre du confort minimum requis, nous n’aurons même plus un refuge dans l’enceinte du bâtiment livré à cette nouvelle effervescence.

Se posera également très rapidement la question de la déontologie dans nos politiques de partenariat et de mise à disposition de nos espaces.

 

Economiser sur les charges de personnel

Le gel d’emplois vacants, le recours abusif aux CDD ou aux stagiaires, le gel d’augmentations générales, la pression sur les cachetiers et le détournement du statut de cadre sur le thème « Travailler plus pour gagner moins» par l’absence illégale de rémunération des heures supplémentaires et majorées constituent des axes inacceptables d’économies sur le dos des personnels.

 

Rendre les missions impossibles

L’un des objectifs d’économie porte sur les frais de mission. Encore faudrait-il que les économies soient réelles. Aujourd’hui voler sur des compagnies low cost entraine des surcoûts importants en suppléments bagages et oblige parfois à louer un véhicule pour rallier la ville de destination, bref à l’arrivée c’est plus cher. Pour l’hébergement avec Bleu voyage, on arrive parfois à l’aberration de payer plus cher que le tarif affiché dans la chambre.

S’ajoute à cela que la planification des équipes de production, déjà très contrainte, devrait prendre en compte la date où la compagnie low cost propose un vol.

Le but recherché est-il d’amoindrir la puissance éditoriale de Radio France ?

 

 

 

Il est temps que les échanges de nos dirigeants avec la tutelle ne soient pas centrés sur le rôle de bon élève par l’application de méthodes formatées par les écoles de gestion.

Radio France est un groupe radiophonique public.


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Lire aussi :

Responsabilité sociale et exemplarité

La tristesse d'une rupture conventionnelle

France Inter chez un dictateur

Ras-le-bol au DPS

Born to burn ?

Le programme 843

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