Publié le 18 Février 2013

Petit-logo-unsa-copie-1Les techniciens du DPS font preuve de nombreuses compétences très pointues et d’une vraie polyvalence : gestion d’émissions en public et en direct, captation de concerts de tous genres musicaux, mixage sur des productions élaborées (fictions, documentaires et ateliers), sonorisation des grands studios et des conférences, travail avec le pool son (Pleyel, TCE, Châtelet, Garnier, Bastille...), captation en extérieur sur des festivals, enregistrement d’émissions de débat, postproduction, publicité, restauration d’archives, messages promotionnels, formations (Sadie, Protools, consoles…), sonorisation…

 

Ne travaillant pas dans le cadre d’un horaire cyclique, ils doivent s’adapter en permanence à l’organisation du travail. Ils ne connaissent leurs horaires que le jeudi soir pour la semaine qui suit. Ils sont également confrontés à un déficit de remplacement.

 

Depuis de nombreuses années, le passage de B15 à B21 au DPS présente de plus en plus de problèmes. Les compétences exigées se développent et les besoins d’adaptabilité n’ont cessé de se développer, tant pour les opérateurs que les chefs d’équipe.

 

1) Le passage en B21 oblige les techniciens du DPS à renoncer au bénéfice de leurs heures supplémentaires, leurs heures de nuit et leurs heures fériées. En conséquence, le refus des heures supplémentaires de remplacement perturbe le fonctionnement du centre. La situation est devenue tellement absurde que sept d’entre eux ont renoncé à une promotion aux dernières CPS.

 

2) Ceux qui accèdent au statut de chef d’équipe se voient attribuer des tâches et des responsabilités supplémentaires, mais pas un euro de plus sur le salaire.

 

3) Les carrières souffrent de disparités par rapport à d’autres secteurs à Radio France. Il manque de réelles perspectives d’évolution.

 

Il n’est aujourd’hui plus possible de continuer dans cette impasse. Les techniciens du DPS sont au cœur de la production radiophonique. Ils ne sauraient rester à l’écart de toute réflexion sur la reconnaissance de leurs activités et savoir-faire.

 

L’Unsa demande :

 

1) Le paiement des heures supplémentaires en application de l’article L3121 du Code du travail à hauteur des heures réalisées (125% jusqu’à la 8eme heure et 150% au-delà).

2) Le paiement des heures fériées et de dimanche en application de l’arrêt de Cassation du 27 juin 2012 (Cass. soc. 27 juin 2012, n°10-28.649 F-PB) : l'exclusion d'une compensation financière liée au travail effectué le dimanche et les jours fériés, prévue par un accord collectif, concerne les cadres dirigeants, et exclusivement les cadres dirigeants.

3) La compensation des heures de nuit. 

4) Une mesure salariale spécifique à la fonction de chef d’équipe.

 

5) Une mesure générale d’avancement pour résorber les disparités.

 

 

La direction est alertée depuis des années, rien ne se passe.

On ne peut plus faire l’impasse sur le ras-le-bol qui s’exprime au DPS.

 

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Lire aussi :

CPS 2012 

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Publié dans #Carrières

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Publié le 12 Février 2013

Petit-logo-unsa-copie-1Certains directeurs, chefs de service ou producteurs – sont exemplaires dans leur relation avec le personnel.

 

D’autres sont reconnus pudiquement par la DRH comme « exigeants ». Parfois réputés « indéboulonnables », ils sévissent depuis des années dans l’omerta. Des salariés craquent après avoir subi brimades, dévalorisation, mépris, agressions verbales. Le personnel change, mais pour ce qui est des habitudes : silence, elles se perpétuent.

 

 

On se souvient du débarquement de Didier Ades et Dominique Dambert, producteurs emblématiques de la Rue des Entrepreneurs. La direction se justifiait alors dans la presse en s’appuyant sur plusieurs témoignages révélateurs d’une attitude constante pendant plusieurs années. Nous avons en tête la grande opération de communication sur la gestion des risques psychosociaux. Mais qu’en est-il aujourd’hui ?

 

 

En région, dans les directions parisiennes, dans quelques équipes de production, dans certaines rédactions, rien ne change.

 

 

Ce n’est pas facile de se reconnaître comme la cible d’un comportement déplacé, par crainte d’être ostracisé. Mais il n’y a pas non plus de fatalité.

 

 

Pas de blacklist sans black out. Le plus grand danger est de rester isolé dans une situation professionnelle anormale et menaçante pour la santé.

 

 

 

N’hésitez pas à contacter l’Unsa !

 

 

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Voir aussi :

Born to burn out ?

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Rédigé par unsaradiofrance

Publié dans #Conditions de travail

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Publié le 4 Février 2013

Petit-logo-unsa-copie-1Pour conquérir un donjon, il suffit de l'assiéger, de l'asphyxier. C'est à peu près ce qu'est en train de faire la DNM avec les services multimédia des chaînes : pratiquement pas de fonds propres, pas de formation et peu de personnel, une autonomie quasi inexistante. La tente à oxygène quoi.

Jusqu'au jour ou la DNM nommera des petits marquis au-dessus de chacun de ces services, qui assumeront pleinement leur rôle de prescription sur les programmes, voire sur les programmes des chaînes.

 

Ils en ont les moyens :

 

La DNM dépenserait 50 000 euros pour le projet Vol en impesanteur, projet multimédia dont nous ignorons le budget total. 50 000 euros pour....60 clips de 1 minute !

50 000 euros pour 10 000,  20 000 ou 30 000 clics ?

Quelle veine, le producteur a sa propre société de production : charité bien ordonnée commence par soi-même.

 

Radio France doit être aussi un laboratoire technologique et se tourner vers l'avenir, mais sans pour autant tomber dedans. D'autant que nous observons tous la DNM redécouvrir avec émerveillement l'histoire du jeu vidéo et du DVD interactif .

Le Web Dog en est un exemple parfait : Un petit jeu à choix multiples qui vous dira quel chien vous êtes, et un menu en images qui vous permet, en cliquant tout de même, de visionner une dizaine de clips canins. Aussi désopilant qu'avant-gardiste.

 

Alors que la DNM a la tête dans les étoiles, le reste de Radio France se serre la ceinture.

Cependant que l'on s’inquiète régulièrement du Zebra jusque chez Chaumette de la santé des uns des autres, nos directions viennent en procession déjeuner de notre ordinaire à la cantine de Radio France. A table, le silence se fait enfin entendre. Il est alors possible de dire tout haut :

 

Avec 50 000 euros on produit 10 documentaires de 60 minutes à l'étranger qui rassembleront des millions d'auditeurs.

Nous appauvrissons le contenu des chaînes pour financer à prix d'or le contenu pauvre de la DNM.

Les ressources internes sont insuffisamment exploitées, le service vidéo par exemple.

Nous ne comprenons rien au mode de production de la DNM.

Y a t-il une stratégie Radio France au-dessus de la stratégie DNM ?

Comment peut-on aborder sereinement la modernisation de Radio France quand la DNM s'illustre par de pareilles avanies ? 

 

 

Pour toutes ces raisons L'Unsa Radio France réclame un audit financier interne de la DNM, ainsi qu'une expertise approfondie de leur mode de production.

 

 

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Publié le 1 Février 2013

Petit-logo-unsa-copie-1Christine Ockrent arrive sur la grille de France Culture ce 2 février à la place de Jean-Marie Colombani. Le directeur de la station défend l’idée que la chaine ait ses propres voix et s’appuie sur la compétence de l’intéressée en géopolitique.

  

Au moment où le niveau de revenu des cachetiers en contrat de grille est menacé par le projet d’allongement de la grille d’été, la venue en cours de saison de l’ancienne directrice générale de l’audiovisuel de la France (AEF) pose question :

  

  • Christine Ockrent n’a pas hésité à demander une indemnité de    650000 €, parce qu’elle estimait qu’elle avait été contrainte à démissionner de l’AEF. Elle vient d’être déboutée de cette requête par le tribunal de commerce de Nanterre. D’anciens salariés ont gagné aux Prud’homme contre Radio France et ont été montrés du doigt, accusés de détourner l’argent public.
  • En décembre 2010, elle avait été désavouée en tant que dirigeante par une motion de défiance votée par 85% du personnel de France 24.

A son arrivée sur la chaine, elle percevait 120000 € pour une chronique hebdomadaire de 6 mn.

  

Christine Ockrent reste probablement une grande professionnelle, mais de tels montants rappellent une période bling-bling que l’on croyait révolue.

 

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Publié le 25 Janvier 2013

Petit-logo-unsa-copie-1Le 17 janvier 2013, le Conseil d’Administration a voté le budget 2013 qui prévoit la création d’une nouvelle locale et de lourdes économies sur le fonctionnement de l’entreprise. Plus de transparence financière est souhaitable dans une période où la direction demande aux salarié-e-s de serrer la ceinture comme jamais.

 

La direction est interpelée à la réunion du CE du 30 août 2012 par une question écrite relative au coût du rapport d’activité 2011 alors destiné à l’ensemble des salarié-e-s de Radio France. C’est une information économique qui n’a pas lieu d’être cachée aux élu-es du CE et pourtant la direction refuse de communiquer le montant demandé. Voilà un exemple qui illustre la frustration des représentant-e-s du personnel. La direction de la Communication a probablement gaspillé de l’argent dans une publication, pourquoi ne pas le reconnaître ? Et plus largement, pourquoi tant d’opacité quant aux informations économiques ?

 

Au CCE du 8 novembre 2012, un droit d’alerte économique a été voté à l’unanimité des élu-e-s. Il s’agit de confier à un cabinet d’expertise une étude sur la situation financière de Radio France. Le hic, c’est que ce cabinet demande 140 000 euros à Radio France. On peut s’interroger sur la finalité de ce droit d’alerte.

 

Des frais judiciaires sont engagés par Radio France. Par exemple, les 212 000 euros de dommages et intérêts concédés en 2011 à Stéphane Guillon ne suffisaient pas. Jean-Luc Hees a souhaité faire appel avec son indéniable sens de la formule : « Nous n’allons pas laisser le contribuable se faire plumer pas Robin des bois. » Bilan, Radio France versera 23 000 euros supplémentaires à l’humoriste suite à la décision de la Cour d’appel du 15 janvier 2013.

 

A la direction technique, du matériel est acheté mais ne sera pas utilisé ; des projets sont lancés et n’aboutiront pas.

 

Des options prises lors du chantier de Réhabilitation entrainent de nouveaux coûts d’exploitation : mauvais choix de matériaux, mauvaise réalisation, relocalisations multiples…

Ajoutons le non-sens de situer les futurs studios de France Info avec vue sur le front de Seine, en dépit des règles élémentaires de conception, pour finalement poser un film sur les fenêtres afin de pouvoir filmer… les invité-e-s.

 

Il est temps de retrouver un dialogue social. Pour cela, la direction doit jouer la carte de la transparence et de l’écoute.

 

Les salarié-e-s ont également une voix à faire entendre s’agissant de la maitrise budgétaire, d’autant qu’au bout du compte, ce sont toujours les mêmes qui paient la note.

 

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Lire aussi :

Les salariés ne peuvent pas toujours payer la note

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Publié le 7 Janvier 2013

Petit-logo-unsa-copie-1Jean-Luc Hees transporte son personnel au Palais de Tokyo.  Devant un buffet bien garni, le président de Radio France expliquera que l’heure est à la diète, qu’il faut immédiatement réaliser des économies par exemple sur les frais de réception et de représentation… Il s’enorgueillira peut-être de célébrer cette année les cinquantièmes anniversaires de la Maison ronde et des noms de chaînes de France Musique, France Culture et France Inter. Cerise sur le gâteau, avec Saint-Etienne, la cinquantième station de Radio France serait inaugurée.

 

Et pourtant :

 

-       Nous n’avons ni les moyens humains, ni les moyens financiers de faire fonctionner une radio locale supplémentaire.

Quant à l’investissement nécessaire à cette création, Radio France finance à hauteur de 600000 euros. Il manquerait de surcroît 100000 euros par rapport aux 600000 que devaient apporter les collectivités locales.

 

-       Le manque de maitrise de la Réhabilitation entrainera des surcoûts importants, pendant et après les travaux. Les coûts d’exploitation seront plus importants, parce que le bâtiment demandera énormément de maintenance.

 

-       Nous sommes aujourd’hui victimes d’un indicateur absurde retenu en haut lieu : le ratio entre nos effectifs et le volume d’heures de programme. Avec de tels raisonnements, la Comédie française devrait monter des spectacles solos.

 

 

La production radiophonique sera attaquée en procédant à des coupes dans les équipes. Les conséquences seront néfastes :

 

-       Les contenus éditoriaux seront dévalués pour faire cheap.

 

-       Dans chaque service, l’organisation du travail alourdira encore la charge de travail de chacun.

 

-       Les salaires prendront un bon coup de gel et les personnels resteront longtemps au bord du chemin de la reconnaissance.

 

 

Nous sommes en 2013 et  l’Unsa s’engage à combattre chaque reniement quant aux missions de Radio France, aux conditions de travail et aux blocages des salaires.

 

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Lire aussi :

Jean-Luc Hees : Santé, bonheur et bien-être au travail

Les salariés ne peuvent pas toujours payer la note

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Publié le 7 Janvier 2013

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Les personnels aux cachets subissent une situation de précarité et sont les victimes désignées des restrictions budgétaires.

 

 

 

  •      Sur France Culture, l’allongement de la grille d’été menace celles et ceux en contrat de grille d’une perte d’une semaine de revenus en 2013 et de deux semaines supplémentaires en 2014.

 

  •           Si les directions suivent leurs objectifs de rediffusions et de multidiffusions des documentaires, le nombre de cachets des « producteurs-trices tournant-e-s » sera affecté.

 

  •      Le développement des partenariats entraine du temps d’antenne alloué à des chroniqueurs de presse écrite, étrangers à l’univers radiophonique, non rémunérés par Radio France.

 

 

 

 

L’Unsa demande :

 

-       Le maintien des revenus avec des engagements fermes dans les meilleurs délais pour les grilles d’été.

 

-       L’intégration des collaborateurs-trices spécialisé-e-s dont la fiche de poste se recoupe avec celles des attaché-e-s de production.

 

-       L’ouverture de négociations sérieuses sur les droits d’auteurs liés au multimedia.

 

 

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Publié le 7 Janvier 2013

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Un préavis de grève a été posé suite à la décision de renoncer au remplacement de 4 techniciens à France Inter. La direction s’appuie sur un choix éditorial annoncé en juin et mis en œuvre avec la grille de rentrée : remplacer les programmes de nuits par des rediffusions. Lors du CE du 30 août, Philippe Val déclarait assumer ses choix, qu’il justifiait par :

 

 

-       Une contrainte économique qui l’empêchait de créer la production de nuits thématiques.

 

-       Un arbitrage éditorial en faveur des programmes diurnes. On imagine que l’arrivée de Frédéric Lopez, vu à la TV, avait sans doute pesé sur l’économie générale de la grille.

 

 

La suppression de 4 postes de techniciens à France Inter s’inscrit également dans la politique de redéploiements démentiels initiée en faveur de la DNM, de la direction des achats et d’une nouvelle locale à Saint-Etienne. Nous dénoncions cette politique dès février 2012.

 

 

 

 

-       La radio nocturne aurait dû rester un espace de liberté, un champ d’expérimentations, la possibilité de donner leur chance à de nouveaux talents. C’est un véritablement renoncement au potentiel de production radiophonique.

 

-       La suppression de 4 postes dans une équipe engendre une surcharge de travail, donc une dégradation des conditions de travail.

 

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Lire aussi :

Redéploiements démentiels

 

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Publié le 7 Janvier 2013

Petit logo unsa

Une fois n’est pas coutume, prenons exemple sur la vie domestique. A-t’on déjà vu un particulier faire réaliser des travaux par un artisan sans s’assurer de la qualité de leur exécution ? Lui serait-il acceptable de voir les joints apparents des plaques de plâtre ? Des poignées de porte qui restent dans la main ? Les fils électriques à changer au bout de quelques mois ? Des problèmes d’étanchéité ? Des boiseries bas de gamme, sources de pollution de l’air ambiant ? Un mauvais raccordement de l’évacuation du syphon qui provoque une diffusion d’odeurs nauséabondes ?

 

 

Personne ne pourrait imaginer autant de déconvenues. A Radio France, nous subissons les méfaits d’un chantier où l’on a rogné sur le coût des matériaux et sur la qualité de l’exécution. Les options prises auront pourtant des conséquences financières importantes sur les charges d’exploitation du bâtiment. Finissons-en avec les vues à court terme !

 

 

On pourrait méditer sur la lettre qu’adressait Vauban, commissaire aux fortifications, à Louvois, ministre de Louis XIV, le 17 juillet 1685 et particulièrement sur ce passage :

« […] ces rabais et bons marchés sont imaginaires, d’autant qu’il est d’un entrepreneur qui perd comme d’un homme qui se noie, qui se prend à tout ce qu’il peut, or, se prendre à tout ce qu’on peut en matière d’entrepreneur, c’est […] mal payer les ouvriers qu’il emploie, friponner tous ceux qu’il peut, n’avoir que les plus mauvais parce qu’ils se donnent à meilleur marché que les autres, n’employer que les plus méchants matériaux, chicaner sur toutes choses… »

 

 

En 2012, ces vérités-là sont aggravées par le recours systématique des entreprises de BTP à des prestataires, qui à leur tour utilisent les services d’agences d’interim. Pour une bien piètre réalisation, quelques intermédiaires se sont servis au passage.

 

 

Avant de lancer les appels d’offre des phases 3 et 4, serait-il possible de tirer les leçons des années passées ? Il est encore temps de procéder à des modifications du programme initial, et de renoncer par exemple à la destruction aberrante des studios 131 à 135. Il est davantage nécessaire d’investir dans des matériaux de premier choix et une exécution de qualité dans l’intérêt d’un bâtiment durable.

 

 

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Lire aussi :

Coupable réhab
Sous le plus grand chapiteau du monde

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Publié le 29 Décembre 2012

Couv Résultats CPS PTA 2012

 

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Lire également :

Commission paritaire salariale (CPS) 2012

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